Dans notre parcours en tant que francs-maçons, nous nous trouvons souvent au carrefour de la tradition et du progrès, un lieu où les principes intemporels de notre fraternité rencontrent la dynamique en constante évolution du monde moderne.
Alors que nous naviguons dans ce paysage complexe, le rôle du Grand Maître apparaît comme un phare d’orientation, incarnant l’équilibre délicat entre la préservation de notre précieux héritage et l’ouverture vers l’avenir.
Aujourd’hui, explorons l’importance cruciale de cet équilibre et les qualités que nous devons rechercher chez les élus à ce poste estimé.
Au cœur de la franc-maçonnerie se trouve le principe selon lequel le leadership n’est pas un privilège d’ancienneté mais une responsabilité gagnée par le mérite.
Cette croyance fondamentale garantit que ceux qui nous guident le font non pas en raison de leur mandat mais en raison de leur capacité, de leur sagesse et de leur dévouement au métier.
Cela nous rappelle à tous que notre croissance, tant individuelle que collective, dépend de la qualité de nos dirigeants.
L’élection d’un Grand Maître n’est donc pas une affaire à prendre à la légère. C’est un processus qui demande du discernement, de la réflexion et une compréhension profonde de ce que représente la franc-maçonnerie.
Nous recherchons un frère qui non seulement comprend nos anciens repères, mais possède également la vision nécessaire pour nous faire avancer.
Ce leader doit être un symbole d’unité et d’autorité, un gardien de nos traditions et un architecte de notre croissance. Il doit servir de médiateur et résoudre les conflits, incarner nos vertus maçonniques et nous représenter dignement auprès du monde extérieur.
Mais que se passe-t-il lorsque nous nous écartons de ces principes ? Quand l’attrait des titres éclipse l’essence du véritable leadership ?
Les conséquences peuvent être considérables. La confiance au sein de la fraternité pourrait s’éroder, notre réputation collective pourrait en souffrir et nos progrès pourraient stagner. Le tissu même de notre fraternité, tissé au fil de siècles de tradition et d’amour fraternel, risque de se défaire.
Il est donc impératif que nous restions vigilants.
Un candidat au poste de Grand Maître doit non seulement être respecté parmi ses pairs, mais doit également démontrer un historique de leadership efficace, tant à l’intérieur qu’à l’extérieur de la loge.
Il devrait être un modèle d’intégrité morale, un défenseur de l’éducation et du développement personnel et un champion des valeurs démocratiques qui sous-tendent notre fraternité.
Sa vision de la franc-maçonnerie devrait nous inspirer et son engagement envers nos principes devrait être inébranlable.
Alors que nous réfléchissons à l’avenir de notre fraternité bien-aimée, rappelons-nous l’importance de choisir des dirigeants qui incarnent le meilleur de ce que signifie être franc-maçon.
Assurons-nous que notre Grand Maître soit un homme d’un grand mérite, choisi non seulement pour ses réalisations, mais aussi pour sa capacité à nous diriger avec humilité, sagesse et un profond respect pour notre héritage commun.
En ce moment de choix, laissons-nous guider par les leçons de notre passé et la promesse de notre avenir. Car en trouvant le juste équilibre entre tradition et progrès, nous garantissons non seulement l’héritage de la franc-maçonnerie, mais aussi sa pertinence et sa vitalité continues dans les années à venir.
Mais rappelez-vous, car tous les Maîtres Maçons doivent voter selon leur conscience et sans aucune influence ou autre.
Ensemble, frères, nous détenons la clé pour libérer le plein potentiel de notre fraternité, en veillant à ce que la lumière de la franc-maçonnerie brille de mille feux pour les générations à venir.
Le GM est notre représentant,Président du Conseil d’administration,Il ne dirige pas une Obédience, c’est le rôle du Conseil de l’Ordre (ou fédéral).Il doit être bon gestionnaire et bon communicant.Surtout il ne doit pas se prendre pour un Phénix.
Nous sommes censés être des hommes (femmes) libres pas des moutons.