La Kabbale est une démarche intellectuelle et symbolique qui consiste à trouver dans le Texte un message sacré. La Bible n’est pas seulement ce qu’elle est pour le profane, mais la source cachée d’un savoir ésotérique. Le mot Kabbale qui signifie réception, est souvent traduit par tradition. La tradition étant ce que l’on reçois des ancêtres.
Le labyrinthe est une figure importante des bâtisseurs, que l’on retrouve dans plusieurs cathédrales. Les voyages du 1er degré font appel à cette symbolique.
La Franc-Maçonnerie fait référence au « Grand Architecte de l’Univers », mais l’interprétation donnée à cette entité varie beaucoup entre chaque loge, de la croyance en une divinité créatrice au simple symbole d’une recherche spirituelle individuelle. La tolérance étant au centre des préoccupations maçonniques, les initiés bénéficient d’une grande liberté de conscience. Ainsi, « que ce qui nous fait égaux, la loi, la politique, la démocratie, constitutif d’une certaine idée de la Nation et de la République, est au-dessus de ce qui nous différencie, les religions, les origines diverse, les cultures régionales, sans pour autant les mépriser, bien au contraire» et tend à la définition de la laïcité ayant comme fondement le respect de l’homme dans son ensemble physique, moral, spirituel et philosophique et stipulant que chaque être humain doit être libre de croire, de ne pas croire ou de douter.
C’est le 26 août 1789 à l’assemblée nationale française que les valeurs laïques sont inscrites pour la première dans un texte appelé : Déclaration des Droits de l’Homme et du Citoyen qui s’inscrit dans la continuité de la Déclaration de l’indépendance américaine de 1776 et de l’esprit philosophique du XVIIIe siècle. Cette déclaration de l’indépendance annonce la Constitution américaine de 1787 qui précisera les droits individuels, et sera complétée en décembre 1791 par l’adoption de dix amendements, désignés sous le nom de Bill of Rights, « Déclaration des droits », elle-même inspirée de La Constitution corse, votée par des représentants corses le 18 novembre 1755 à la Cunsulta generale di Corti.
Terme anglais signifiant « borne », « point de repère » et désignant les principes fondamentaux de la Franc-Maçonnerie régulière. Dans les obédiences des USA, il existe différentes listes de landmarks qui sont autant de critères servant de base pour la reconnaissance entre les obédiences. La Grande Loge unie d’Angleterre n’a pas de landmarks à proprement parler, mais une liste de basic principles. D’autres obédiences définissent des listes de critères dénommées règles (souvent en 8 ou en 12 points). D’autres enfin, principalement en Europe, n’en définissent pas.
Pourquoi placer cette fleur en haut des colonnes ? Si le lis est blanc, donc signifiant l’innocence, la virginité, le bien, l’organisation de sa fleur en fait au contraire un symbole sexuel. Son pistil démesuré évoque le phallus. De plus, son par parfum passe pour être aphrodisiaque. Le lis pourrait donc signifier, de par sa dualité, la sexualité maîtrisée, dénudée de tout vice, la création naturelle, la fécondité saine, gage d’immortalité de tout un peuple. En ce sens, le lis est à rapprocher des grenades.
Avant la Tenue, le Secrétaire met un registre à la disposition de tous les Maçons présents, membres de l’atelier ou visiteurs. Chacun doit noter son nom, son grade, son Orient, sa fonction et signer. Les livres de présence sont à conserver dans les archives de la Loge.
C’est une Loge qui n’est pas rattachée à une Obédience. On appelle aussi ces ateliers Loges Indépendantes. Elles peuvent avoir été formées de façon régulière, mais refuser toute attache à une Obédience et produire des travaux d’un très haut niveau.
Au R.E.A.A. elle figure sur le Tableau de Loge, en haut et a gauche, c’est-à-dire en face de la colonne » B « , la Colonne qui signifie Force. Le Soleil, lui, se trouve en face de la Colonne » J « . L’énergie créatrice va de » B » vers la Lune, alors qu’elle va du Soleil à » J « .